Dark Angel [ Modo Lalouloudia ]
Nombre de messages : 2080 Age : 28 PUF : lalouloudia Clan : Air Pouvoir : Elle ne ressent pas la douleur, est immortel. Date d'inscription : 07/07/2007
| Sujet: EGSO [P] Lun 26 Oct - 20:22 | |
| Photo : Galerie du dessinateur : http://twilight-veil.deviantart.com/art/Native-Beauty-80642805 Nom : El Gin San Olena Sexe : Mâle Clan : Terre Pouvoir : Je possède un pouvoir que l'on pourrait dire de l'élément air, mais non, car à la base c'est mon galop inépuisable que j'eus en premier, puis l'élévation et les quelques bourasques. Je peut galoper rapidement sur une durée et longueur indéterminé, atteint une certaine vitesse je me soulève du sol et galope à quelques mètre de lui, ou bien je créer une bourasque de vent plus ou moins violente qui certaines fois se retourne contre moi si je ne suis pas totalement concentré. Par contre c'est tout aussi négatif, même si peu à peu j'arrive à moins me fatiguer cela reste épuisant pour un jeune étalon. Histoire : Je suis un jeune étalon d'à peine 3 ans. J'ai vécu dans une tribu indienne dans les appalaches avec mes parents décendant directes des Nez-Percés, les vrais appaloosas, mais vous me direz "Tu est pas un appaloosa ? Tu est un pinto !" C'est justement là que commence mon histoire ... "On me raconta que quelques jours avant ma naissance des branconiers à la rechercher de chevaux sauvages et plus précisément de Nez-Percés capturèrent ma mère. Elle me mettra au monde dans une cage que les humain appelé "Boxe", voyant que j'était pinto et non appaloosa, ses hommes décidèrent de nous abandonner'' C'est le seul moment que mon histoire dont je ne me souviens pas. Voilà mon histoire depuis ma naissance jusuq'à aujourd'hui ... Histoire longue : - Spoiler:
Nait d'un couple de Nez-Percés très rare et magnifique, je n'hérita pas de la robe de mes parents. Je vécu un traumatisme lors de mes 1ers jours, des hommes nous abandonnèrent ma mère et moi, dans un endoit qu'elle ne connaissait pas. Hennissant jour et nuit pour appelé mon père. Un jour alors que le despoir s'abattait encore sur nous, un étalon de taille respectable arriva dans un galop fluide, rapide, lèger donnant l'impression de voler, vers nous. Ma mère se leva pour me défendre contre cet inconnu puis s'aperçut qu'elle le connaissait, c'était mon père. Nous mîmes plusieurs jours avant que notre périple s'acheva. Il y avait une rivière qui s'écoulait lentement et qu'on nommait "Palouse", une immense vallée recouverte d'herbe roussi par l'été et des tipis. Lors que nous arrivèrent mon père poussa un cri qui me flanca la trouille, des hommes au loin sortir de leurs tipis et coururent vers nous. Mais à quel mètres de nous ils s'arrêtèrent tous et nous regardèrent pétrifié. Un vieille homme traversant la foulle imobile pour nous atteindre, il saisissa mon père et le regarda droit dans les yeux puis il fit pareil avec moi. Alors il se retrouna et dit à ses frères " C'est lui !" Ils crièrent tous de joie et mes parents ne cachèrent pas non plus leurs joie. En fait, mes parents n'étaient pas que des descendants des Nez-Percés, ils étaient aussi des chevaux issus d'esprit bien fesant appalachiens, et une profitie disait "Parmis leurs descendances, il y en aura un de spécial, unique et rare qui défendra ses causes. Une course contre ses parents pourra le prouver lors de ses 1 an." Je grandit, grandit, les jours, semaines et mois passèrent dans une atmosphère calme et paisible. On me laissait vivir en paix avec mes parents. Mes 1 an approchèrent à grandes foulés, j'était un joli yearling exceptionnelement bien formé pour son âge, mon père qui était pourtant très bien musclé ne fesait plus qu'une vintaine de cm de plus que moi et question mucles je le rattrapais aussi. Le jour de mes 1 an toute la tribue s'agitait beaucoup, mes parents aussi mais ils s'inquiétaient plus pour moi, car c'était le jour qui choissirait mon futur. La Course Alppache. Le parcours était simple faire le tour de la chaine de montagne Appalaches le plus rapidement. Le record était détenu par mon père en 3 jours et demi. La course prit le début tôt le matin, le soleil à peine levé que je partit en compagnie de mes parents. Eux faisaient le parcours tout les mois pour s'entrainer et se relaxer entre eux. Ma mère désida de m'accompagner et de réduire l'allure jusqu'à un certains points où ils accélérèrent plus ou moins pour me tester. Cela fesait 6h que l'on galoper dans un rymthe lent pour moi, puis pourtant ce rapprochait du rymthe des meilleurs pur sang engagés lors de course très prèstigieuse. Au bout d'une journée et demi de galop sans arrêt mon père accéléra son rymthe et deviens beaucoup plus rapide que j'eu fait. Ma mère aussi fit pareil mais plus tard voyant que je suivais bien. On avait fait plus de la moitié du parcours, lors que je suis sentit poussé des ailes. Depuis plus de 3h je galopait seul, ma mère étant parti loin devant pour rattraper mon père que je voyait plus depuis ce matin (en sachant que l'on était la fin d'après midi). Je pensais avoir atteint ma puissance, mais une voix me parla " El Gin San Olena, fils d'Okie Pat Bar et Robs Moonlight Flitz descendant des Nez-Percés, les chevaux les plus digne qui ont foulés le sol, tu a une destiné des plus nobles alors saisit ta chance est galope ..." Sans réfléchir j'alonga mes foulés et donna de puissant coup de reins. Alors mes poumons remplissaient casiment tout mon poitrail pour de vrai. Pendant 5h je ne vu aucun signe de vie de mes parents, jusqu'à se que j'apercus les traces de ma mère qui ont foulés le sol et encore fraîche. Un quart d'heure plus tard j'apercut ma mère et la rejoins, elle fut aussi heureuse de me voir croyant que j'avais abandonné comme c'est autres poulain auparant. Un sourit du coin des lèvres lui fit comprendre que je ne resterai pas, alongant encore, encore et encore mes foulés je la vit disparaitre même si elle essaya de me rattraper elle ne réussi point. Depuis maintenant 3 jours je courais, sans resentir la moindre fatigue le moindre ésoufflement, rien. Quelques minutes après j'apercut une silhouette grise, tacheté, mon père. Je ralonga encore pour le rattraper. Lui galoper tranquillement en regardant le paysage jusqu'à se qu'il me fit, d'un clin d'oeil il me fit comprendre que la lutte commencait. Il partit en flèche et j'eus du mal à le suivre. Insipirant quatre ou cinq fois calmement, je fixa l'horizon, ferma les yeux. Tout en galopant je rouvrit mes yeux et partit rejoindre mon père, une deuxième force me permis cet acte. Je reconnu au loin ma vallée avec la rivière palouse qu'il fallait traversé. Et mon père réapparu, je le rattrapa sasn soucis grâce à cette force. Et le duel père-fils atteingna son moment le plus intense. Tous deux on allongé les foulés, on ne fesait que ca. La ligne d'arrivé était symbolisé par la rivière Palouse. Il ne restait plus que 3km, je fit un salument de la tête à mon père et parti de plus belle. A ce moment là il n'y avait que le vent que j'entendait me dire, "plus vite, tu le peut, vas-y ..." l'écoutant j'alla plus vite, et je ne sentis plus le sol sous mes sabot. Je volais. M'étant élevé de quelques cm mais bien visible j'accéléra trop plus vite pour entendre le vent me parler. Je passe la ligne d'arrivée sans problème sauf pour m'arrêtait avec plus ou moins de difficultées. Ma mère arriva une petite heure après. Tous étaient heureux de voir que c'était moi, le cheval qu'il attendait depuis longtemps. Je remarqua aussi que j'avais rattrapé mon père en taille même largement dépassé et pareil en musculature. Puis les jours passèrent, tous m'apprennez à me défendre, à ne pas être naïf, à faire régner le respect et le calme. Plusieurs fois quand je me baladais un malheureux cougar m'attaquait, et je porte des blaissures de guerre du grand cougar des Appalaches mais recouverte pour mes tattouages indien. Et quand mes balades des gens m'observaient au loin sur leurs montures. Un jour, loin de ma tribue pendant une balade ils s'attaquèrent à moi, pris au dépourvu, ils me capturèrent, alerté par le raffu mes parents arrivèrent pour me défendre. Hennissant bruyanment je leur disait de ne rien faire et de partir pour les sauver, et fit une promesse de les garder à jamais auprès de moi. Après plusieurs semaines de voyage en cage dans se qu'ils appelaient waggons, je vit enfin le jour. Et arriva dans un haras qui celon eux était l'un des plus précigieux du monde. J'avais alors 2 ans. Pendant plus de 8 mois ils essayèrent de me monter, de me dresser enfin de me domestiquer. Ils essayèrent même de m'enlevais mon mord en corde seul souvenir d'eux que je gardais présieusement vers moi. Et plus d'un revenait avec un bandage et refusant de m'appocher. Mon coeur se remplit alors de rage et je deviens imdomptable. Même la folie commenca à m'envahir à force de rester enfermer dans leurs boxes tout le temps. Un jour un jeune palefrenier vient pour me nettoyer le boxe, vu que tout les autres refusaient de m'approcher, je me demanda plusieurs fois alors pourquoi l'on me gardé, et je compris vite parce que j'ai unique et execptionnel. Se jeune palefrenier entra dans mon boxe, je ne bouga point et regarda la porte mal fermé, alors sans réfléchir je m'élança, défonca la porte et galopa libre depuis si longtemps, le vent dans mes crins, qui me parle et me dit "bravo !" tous essayèrent de m'attraper à pied ou bien à cheval mais aucun ne réussi. Je galopa plusieurs jour jusqu'a se que je m'arrêta à l'ombre d'une colline à la terre rouge ...
Histoire courte : - Spoiler:
Issu de deux parents appaloosa très prétigieux, je du courir contre mes parents le jour de mes 1 an pour savoir si j'était bien le mytique poulain tant attendu pour les appalaches. Le jour de mes 1 an je couru comme c'était prédit. Pendant une journée et demi je galopa avec ma mère puis elle m'abandonna derrière elle en prenant un rymthe très soutenu pour essayé de rattraper mon père loin devant. Je commencais à me décourager alors j'entendis une voix qui me redonna la force d'y croire. J'alonga mes foulées, rattrapa ma mère en 3h puis recommenca d'alongé encore et toujours plus pour rattraper mon père. Au bout de 2 jours et demi je le rattrapa et se fut un duel de titan. On se doublaient mutuellement. Mais au bout d'un moment je me sentit poussé des ailes et partir comme une flèche loin devant laissant mon père derrière moi. Passant la ligne le 1er, on savait que la légende du poulain qui allait tout changer est en route et cela dans tout le monde. Lors d'une tranquille petite balade des humais me capturèrent. Mes parents arrivèrent pour me sauver mais je les en empêchaient en leurs disant de fuir et que je les garderai dans mon coeur pour toujours. Tous cela alors que je n'avait que 2 ans. On m'amena dans un haras prestigieux, on essaya de me dresser, sans succès. De me monter, sans succès, on ne pouvait rien obtenir de moi, alors ils me laissèrent dans un boxes tout les jours sans me sortir. Un jour un palefrenier arriva pour me faire mon boxe et laissa la porte légèrement ouverte, je défonca la porte et galopa aussi vite que possible. Pendant plusieurs jours jusqu'à se que je m'arrêta à l'ombre d'une colline à la terre rouge ...
Caractère : Caractère : Avant j'était un yearling heureux, en pleine forme et joyeux. Maintenant à cause de mon l'enfermement dans les cages des hommes je suis devenu indomptable, sauvage et remfermé sur moi même. Par ma taille et ma corpolence j'impose le respect, et certains sont même intimidé voir tériffié par ma présence, certaines fois j'en ai pas besoin, rien que le prononcement de mon nom complet leurs fait peur ou un respect installe, grâce à la légende du "Poulain Divin Perdu" pensant tous que j'était mort depuis longtemps. Cela m'arrange, je n'aime plus vraiment la compagnie des autres depuis le contact brutal avec les hommes, je suis devenu réservé mais terrifiant à la fois. Code(s) : | |
|